Un père et manque…
inq ans de silence, donc, depuis Cinq ans de silence rompus par non pas un mais deux albums, proposés à un mois d’intervalle. D’un côté, savamment produit et allègrement “bardé” d’électronique afin de mieux emballer des humeurs plus organiques, qui renverraient volontiers au souvenir d’effluves trip-hop et acid-jazz, pour lesquels notre norvégienne de naissance et suédoise d’adoption revendique une certaine admiration. Elle dont on n’a cessé résolument plus intimiste, où l’ossature des chansons repose le plus souvent sur un piano ou une guitare acoustique. Deux albums qui se répondent et se complètent, indissociables, même si le second ne doit son existence – ou une bonne partie de celle-ci – à la pandémie du Coronavirus et au confinement qu’il a également engendré en Norvège. explique la principale intéressée au téléphone depuis Oslo, où elle a choisi de passer le plus clair de sa “réclusion”. After the Great Storm
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