Tête de liste et tête de lard
Nous ne pensions jamais écrire ça un jour mais, à de rares exceptions près, la pop anglaise de 2020 nous casse les pieds, voire les oreilles. Bien sûr, on peut compter sur Shame, Girl Ray ou Idles pour maintenir l’enthousiasme en respiration artificielle mais, à côté de ça,qui empeste la vieille chaussette de Paul McKhéops, en partie soumise à la dictature des festivals – il faut taper dans ses mains –, en partie peine-à-jouir sous ordres la pop anglaise semble négliger ses fondamentaux. Soit : traduire en idées simples des concepts piqués aux avant-gardes, offrir des chansons ultra-personnelles dont le refrain dit « na na na na na », vampiriser à la Bowie les sons et techniques de production de pointe et enfin, surtout, faire danser les filles.
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