MERCES!
AVEC 50 % DE PISTONS EN PLUS ET JUSQU’À DEUX FOIS PLUS DE CYLINDRÉE, LE BLOC DU SPYDER CORRESPOND PLUS À L’IMAGE QUE L’ON SE FAIT D’UNE PORSCHE.
CHI VA A MANO VA PIANO E VA SANO
‘‘LE SPYDER VEUT VOUS FAIRE PERDRE LE SOMMEIL ET LA RAISON, LIBÉRER LE FAUVE TAPI EN VOUS, RÉVEILLER VOS INSTINCTS ANCESTRAUX. IL EST PARFAITEMENT IRRATIONNEL’’, NOUS VANTE LA BROCHURE.
Le Spyder a peu de défauts, mais sa capote est une punition à manipuler. La cinématique de la malle prête le flanc à la critique, avec des ancrages difficiles à trouver. Les verrouillage et déverrouillage des haubans sont fastidieux et l’opération réclame une grosse minute, en ayant Cest un juste retour des choses. Lundi 16 mars dernier, j’étais contraint de vite ramener le 718 Spyder, emprunté le vendredi 13 (fallait-il y voir un signe ?), pour un road trip dans le Massif central. La raison est connue : la France s’apprêtait à vivre recluse pendant de longues semaines et Porsche voyait d’un mauvais œil que je conserve son joujou jusqu’à l’été. Comprenez mon soulagement, fin juillet, de retrouver l’un et l’autre. Le 718 Spyder est un GT4 décapsulable.
