a première diapo de la présentation presse fait vibrer la corde nostalgique. Une Porsche 550 Spyder (1953), à la symétrie quasi parfaite, me ferait presque regretter d’être né avec le Club Dorothée. Le Spyder RS contemporain, lui, est la version la plus ultime des 718 découvrables. Côtoyant les lombaires, le moteur 4 litres venu de la 911 GT3 Cup. Un demi-millier de chevaux: ça devrait suffire. Chez Porsche, RS (pour RennSport) est synonyme de chasse aux kilos. Dans le cas du roadster rouge illustrant ces pages, Zuffenhausen n’y va pas avec le dos de la cuillère. Avec le pack Weissach et les jantes en magnésium optionnelles, le Spyder RS serait 5 kg plus léger que le Cayman GT4 éponyme. Et si on confronte sa fiche technique à celle du Spyder « tout court », l’écart grimpe à 40 kg. Sur le Boxster de base, la capote, qui est électrique, pèse 34,8 kg. Sur le Spyder, elle est déjà 8,7 kg moins lourde. Sur le RS, le couvre-chef avoue 18,3
UN DERNIER POUR LA ROUTE
Feb 23, 2024
6 minutes
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