Les orphelins du trumpisme

n leader populiste qui se tait, c’est rare. Le silence de Jair Bolsonaro, après les résultats de l’élection américaine, en dit bien plus qu’une volée de tweets. Dimanche 8 novembre, le dirigeant du Brésil ne s’était toujours pas fendu du moindre message de félicitations envers le 46 président des Etats-Unis élu. Dans le camp des boudeurs, on trouve aussi, sans surprise, Viktor Orban. Comme Bolsonaro, le Premier ministre hongrois avait ouvertement soutenu le