Confessions d’un collabo
Oct 29, 2020
1 minute
Emmanuel Hecht
Dans le fonds légué par Paul Morand à la Bibliothèque nationale reposait une pépite: son journal, tenu de 1940 à son exil en Suisse. La publication du premier tome des notes de ce témoin privilégié de la collaboration, observe à juste titre Bénédicte Vergez-Chaignon, à qui l’on doit cette édition érudite et soignée. Morand y apparaît tel qu’en lui-même, petit-bourgeois égoïste et antisémite.
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