PRÉFACE DE LAWTHER
Pas de réponses mécaniques, beaucoup d’hésitations, et les mains sur les yeux pour réfléchir. Alex Lawther se définit comme quelqu’un qui pense trop. comme disent les British, et muni d’une tasse de café, Alex, sans avoir boudé les formules de politesse en français, s’assoit dans un fauteuil face à la fenêtre du Jacques’ Bar de l’hôtel Foxton, en plein sur les Grands Boulevards. S’il préfère le quartier de Belleville, il ne détonne pourtant pas dans un décor plus classique, confortable, tamisé. L’acteur est loin de ses torturées des séries et pour lesquelles il avait avec brio joué un jeune pédophile confronté à sa perversité, puis un adolescent tueur de chatons, autoproclamé psychopathe. La seule chose qui le lie à ses alter ego d’écran, outre une certaine propension au comique, c’est sa présence parfaitement éthérée, sans insistance, qui attire immédiatement la confiance et l’envie,
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