LE BLUES DES PRINCESSES 1. CRISTINA, L’INFANTE DÉCHUE
AU MOMENT OÙ JUAN CARLOS CHOISIT L’EXIL, PARIS MATCH RETRACE LES TOURMENTS DE SA FILLE. UNE DE CES PRINCESSES DONT LA VIE N’EST PAS LE RÊVE IMAGINÉ
Un grand mariage, de beaux enfants, et un super train de vie… qu’il faut bien financer. L’Institut Noos, créé par l’ex-gloire sportive basque devenue businessman, s’en chargera. Après la découverte de malversations financières, le couple est exilé en Suisse. Cristina travaille alors pour la fondation La Caixa, son mari est au chômage, et Juan Carlos paie les frais de scolarités. Aujourd’hui, la princesse déchue a le droit de rendre visite à Iñaki, incarcéré au nord de Madrid. Dans un an, il pourra prétendre à un régime de semi-liberté. En attendant, le roi Felipe n’a toujours pas autorisé sa sœur à revenir s’installer en Espagne.
TROP BEAU ET TROP GOURMAND, SON CHAMPION OLYMPIQUE, IÑAKI, FAIT VACILLER LA COURONNE D’ESPAGNE
MÊME SI ELLE N’AIMAIT PAS LES CORRIDAS, CRISTINA ÉTAIT LA PLUS POPULAIRE DE LA FAMILLE ROYALE, PLUS VIVE, PLUS DÉCONTRACTÉE, PLUS DÉSINVOLTE
Sur les photos de famille, Cristina est celle qui semble la plus à l’aise. La plus souriante, la plus vive. Juan Carlos,
