Freakout, c’est choc !
INCAPABLE DE SE SOUSTRAIRE à ce sourire. Une bonne demi-heure que ça dure sur cette scène du Salmon Bay Eagles Club, lieu improbable s’il en est, auquel on accède par ce que l’on pourrait aisément (mé)prendre pour une porte de service, avant qu’un escalier ne vous guide vers un ballroom dont le parquet en a d’évidence vu d’autres, tandis qu’aux murs sont soigneusement accrochés les portraits des anciens membres du club, en l’occurrence un ordre fraternel de charité si on a bien tout compris. Enfin, ça, c’est quand on n’entre pas par erreur dans le bar tout en longueur voisin, dont la poussière semble figurer les autres jours parmi les clients les plus récents…
Bref, notre homme est aux anges. En ce samedi froid où Seattle se fait un honneur de respecter à la lettre sa réputation de “pot de chambre de l’Amérique”, son groupe fait la clôture de l’avant-dernière soirée du
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