LE BONHEUR EST DANS LE PRÉ
Les campagnes vont « globalement » bien, n’en déplaise aux cassandres. Un puissant mouvement de mobilité des villes vers les zones rurales se poursuit depuis une quarantaine d’années. Plus seulement du fait des retraités, mais de cadres las de subir embouteillages, pollution, stress, cherté de la vie. Voire, comme l’été dernier, de canicules, appelées à se répéter avec le changement climatique. Il ne faudrait pas pour autant aller trop vite en besogne. Les villes continuent de créer l’écrasante majorité des emplois, d’être des lieux d’innovation, de culture et de loisirs. Mais pour combien, à l’issue d’une enquête fouillée et nourrie par toute une littérature axée sur l’économie et les sciences sociales.
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