L’HYDROXYCHLOROQUINE VICTIME D’UN COMPLOT ?
« Les études négatives qui sont apparues depuis la fin avril sont, pour la plupart, méthodologiquement scandaleuses, biaisées à dessein, à l’évidence destinées à détruire un produit peu coûteux, qui dérange l’industrie pharmaceutique et certains enquêteurs qui lui sont liés. On a reproché au professeur Didier Raoult de mener des études non randomisées [c’est-à-dire sans tirage au sort permettant de comparer un groupe traité contre un autre], mais aucune de celles contre l’hydroxychloroquine [HCQ] ne l’a été. C’est l’histoire de la paille et de la poutre ! »
LE GOUVERNEMENT EST RESPONSABLE D’UN DÉSASTRE ÉVITABLE
Le professeur Christian Perronne, spécialiste des maladies tropicales et des maladies infectieuses émergentes, à l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches (Hauts-de-Seine), publie le 17 juin, chez Albin Michel, un réquisitoire implacable contre la politique gouvernementale, responsable, selon lui, d’un désastre évitable. Ses arguments, développés ici, sont simples, mais pour les comprendre, il faut revenir aux premières études sur la chloroquine. Tout commence le 19 février
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