«IL Y A BIEN LONGTEMPS QUE JE VIS CONFINÉ»
C’est sur cette promesse à l’humour grinçant que Moby clôt l’entretien donné depuis Los Angeles, où il réside depuis dix ans. Le musicien new-yorkais peut bien jouer les cassandres. Cela fait déjà un bail que ce militant écolo de la première heure alerte l’opinion sur les conséquences de notre rapport destructeur à la nature, avec un leitmotiv : Artiste engagé, démocrate et végan, il a aussi vendu 20 millions d’albums depuis les années 1990. Sorti avant-hier, son tout nouvel opus s’appelle – une phrase tirée du de son prestigieux aïeul Herman Melville. Il ne déroge pas à la règle avec sa pochette montrant un ciel cataclysmique qui menace Los Angeles. Avec ce disque à la fois politique
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