« J’AI VÉCU L’ANGOISSE DU “DIAMOND PRINCESS” »
LA MALADIE A FAIT DES RAVAGES CHEZ LES PASSAGERS EN QUARANTAINE DANS CE PAQUEBOT IMMOBILISÉ AU JAPON. UNE FRANÇAISE ÉTAIT AU CHEVET DES CROISIÉRISTES. ELLE TÉMOIGNE EXCLUSIF
Elle a refusé de quitter le navire. Caroline fait partie des derniers à avoir débarqué, un mois et demi après le départ. « Ça devait être une belle et longue croisière de quinze jours… » La seule employée française à bord raconte le moment où le voyage a chaviré, les vagues de contamination, la quarantaine en eaux troubles. Pour la sécurité et le moral des 2 666 passagers, elle va jouer les vigiles et les confidentes… Le 14février, le bateau devenait le deuxième foyer mondial du virus. Avec son équipe, Caroline déposait devant chacune des 1 337 cabines des roses et du chocolat. Les princesses, comme les diamants, se révèlent sous très haute pression… Récit d’une perle rare dans le « Diamond Princess » à la dérive.
Manon n’avait pas de hublot dans la cabine E
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