En Serbie, chacun cherche son car
C’est l’histoire d’une étudiante et d’un chauffeur, d’un policier, d’une serveuse et d’un café. C’est aussi celle d’un paquet de cigarettes, d’un bocal de poivrons en conserve, d’un téléphone portable et d’une valise à livrer. La route en est le fil rouge, le véhicule le théâtre, et la pièce qui se joue ici est toujours pareille et pourtant sans cesse réinterprétée. Prendre le car en Serbie, c’est à chaque fois une nouvelle histoire.
De tous les moyens de locomotion, il reste aujourd’hui l’un des plus populaires – selon une étude datant d’il y a quelques années, 95% des voyageurs serbes optent pour la route, et un sur quatre pour le car.
par les ruelles et les sentiers, d’autres où le train
