À l’ami disparu
Le nouveau livre de Bruno Gibert est dédié Un artiste et écrivain majeur qui s’est donné la mort, en 2007,L’auteur de et de se souvient d’un personnage pour le moins excentrique. Rencontré à une soirée chez une connaissance commune, Ed était d’ascendance bourgeoise. Le natif de Neuilly-sur-Seine avait fait l’Essec mais ne travaillait pas, préférant fréquenter les bibliothèques et les musées. Il disposait d’une maison de famille dans la Creuse, jouait plutôt bien au ping-pong, s’intéressait aux armes et répétait qu’il ne croyait pas au sentiment amoureux. radin et enclin à la dinguerie, Ed était du genre à ne jamais reculer, à aller jusqu’au bout. écrit Gibert. En évoquant d’une plume tenue l’époque où les deux compères n’aimaient rien tant que faire marcher leur regard. Comme de véritables Des autodidactes toujours partant pour l’expérimentation.
Vous lisez un aperçu, inscrivez-vous pour lire la suite.
Démarrez vos 30 jours gratuits