SOUS LE PHARE, LES DAUPHINS
C’est l’histoire d’un homme, représentant en foulards pour femmes et fanions qui, sur la route de Dunkerque à Biarritz s’arrête sur l’île d’Oléron. À l’époque – en 1958 –, pas de pont. Albert Dauphin prend donc le bac, Les lambris façon paquebot, les sols repeints tous les ans avec de la peinture à bateau, comme les tables et les chaises, les couverts, les assiettes, le passe des glaces, tout dans cet endroit respire les années 1960. Ici, on déjeune et on dîne de coquillages, de poissons, de profiteroles maison (un délice !), sur des nappes blanches, avec de grandes serviettes immaculées, comme à la création de l’établissement. Les chambres, monacales et un brin désuètes, ont toutes vue sur le pertuis d’Antioche et, à l’horizon, sur la rivale, l’île de Ré. Hors du temps et des modes, le repaire idéal des amoureux des sixties.
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