KARIN TOUT EN CLERCQ OBSCURE
« C’est vrai, j’ai souffert souvent / Je me suis trompé quelquefois / Mais j’ai aimé, aimé vraiment […] S’il y a une chose sublime / Dans ce monde tortueux / C’est l’union, l’union ultime / De ces êtres si affreux… » Derrière ces mots familiers tournent une basse et une batterie fort nerveuses: c’est, reprise et adaptée avec fièvre par l’artiste belge Karin Clercq, la tirade de Perdican dans On ne badine pas avec l’amour, de Musset. Un des beaux moments de son tout nouvel album, La Boîte de Pandore. Elle s’explique: « J’aurais adoré jouer au théâtre le rôle de Camille, l’amie de coeur de Perdican… Cela ne s’est pas fait. Ce texte romantique était au départ une lettre à Musset de George Sand. Un “personnage” passionnant, Sand:
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