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La jeunesse d’Adrien Zograffi
Vie d’Adrien Zograffi
Les récits d’Adrien Zograffi
Série de livres électroniques3 titres

Adrien Zograffi

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À propos de cette série

La mère d’Adrien le fait embaucher chez les frères Max et Bernard Thüringer, grands exportateurs de céréales, à Braïla. Cet épisode de sa vie aborde l’« impitoyable système de travail » en vigueur, et la naissance de syndicats à Braïla.
L’esprit de vagabondage d’Adrien reprend le dessus, il quitte à nouveau sa mère pour rejoindre son ami Mikhaïl, à Bucarest. Il se retrouve dans un bureau de placement, entouré de socialistes, et Istrati nous expose un débat autour de l’utopisme des partis, du machinisme et de ses conséquences.
« Adrien Zograffi, âgé de vingt-deux ans, quitte son pays pour la première fois en décembre 1906. Il s’embarque à Constantza pour Alexandrie d’Égypte.
C’est une date qui compte dans son existence. Jusqu’à la veille de la Grande Guerre, notre jeune idéaliste sera l’amant de la Méditerranée. La Roumanie, Braïla, où sa mère peine dans l’angoisse, ne le reverront plus que le temps nécessaire aux hirondelles pour élever leurs petits.
Dans les pages qui suivent, Adrien raconte lui-même les scènes capitales de sa féerie méditerranéenne. »
« Adrien Zograffi, âgé de vingt-deux ans, quitte son pays pour la première fois en décembre 1906. Il s’embarque à Constantza pour Alexandrie d’Égypte.
C’est une date qui compte dans son existence. Jusqu’à la veille de la Grande Guerre, notre jeune idéaliste sera l’amant de la Méditerranée. La Roumanie, Braïla, où sa mère peine dans l’angoisse, ne le reverront plus que le temps nécessaire aux hirondelles pour élever leurs petits.
Dans les pages qui suivent, Adrien raconte lui-même les scènes capitales de sa féerie méditerranéenne. »
LangueFrançais
Date de sortie25 sept. 2022
La jeunesse d’Adrien Zograffi
Vie d’Adrien Zograffi
Les récits d’Adrien Zograffi

Titres dans cette série (3)

  • Les récits d’Adrien Zograffi

    1

    Les récits d’Adrien Zograffi
    Les récits d’Adrien Zograffi

    Avec ce volume, commence l’épopée d’Adrien Zograffi et des membres de sa famille, génération d’Haïdoucs, ces bandits d’honneur qui luttèrent au siècle dernier en Roumanie pour défendre les opprimés et les pauvres, épris de liberté, de justice et d’amour. Istrati dans un style pur, clair, net mais plein de poésie, nous campe des portraits de personnages bien typés et une nature des plus envoûtante, mais aussi implacable pour ses habitants. Adrien retrouve Stavro, son cousin, qui lui raconte, son enfance entre une mère et une sœur, Kyra, dont la vie désordonnée, s’écoule sans aucun souci d’argent. Très jeune, séparé de sa mère et de sa sœur, il connaîtra à ses dépens une vie pleine de déboires et de corruption des mœurs. C’est l’occasion pour l’auteur de nous faire découvrir son obstination à la poursuite de la recherche de la liberté, de l’amitié qui l’occupera jusqu’à sa mort. L’oncle d'Adrien, Anghel, était amoureux de la plus belle fille du village et l’a épousée. Mais il n’a connu que le malheur avec cette femme paresseuse et sale. Le destin s’acharne sur lui et il finit par devenir ivrogne et incroyant. Sur le point de mourir, il tente d’obtenir d’Adrien qu’il change sa manière de vivre, en lui montrant les horreurs qui pourrait en découler et lui conte l’histoire de ces ancêtres pendant son agonie. Ce volume nous présente les principaux héros de cette saga, qui s’achève avec la mort de Cosma, et l’avènement de celle qu’il a le plus aimée à la tête des haïdoucs, devenue Floarea Codrilor. Nous somme en l’année 1854 et Floarea Codrilor change la tactique de ses haïdoucs. Ils ne se contenteront plus de voler, châtier, mais ils s’engageront dans une tentative de soulèvement afin d’éveiller le peuple, prendre le chemin de la Révolution. Elle déclenche un rassemblement de tous les haïdoucs à travers le pays. Son principal objectif: « ... le droit d’autrui au bonheur. »

  • La jeunesse d’Adrien Zograffi

    2

    La jeunesse d’Adrien Zograffi
    La jeunesse d’Adrien Zograffi

    L’enfance et la jeunesse d’Adrien Zograffi se situent dans une misérable banlieue du port de Braïla, sur les bords du Danube. Adrien devient le protégé de Codine, le bon géant. Puis il se fait vagabond et, pendant huit ans, a Mikhaïl pour inséparable compagnon. A Alexandrie, Le pêcheur d’éponges lui raconte sa vie. Chacun de ces textes pourrait lui aussi s’appeler Mes départs. Avec ces quatre titres, qui composent La jeunesse d’Adrien Zograffi, Panaït Istrati, qui ressemble à son héros, nous offre un chant d’amour, de justice et de liberté. Adrien, neveu de Dimi, ouvre les yeux sur la vie, en faisant connaissance avec Codine, ancien forçat, qui souffre au plus haut point de sa laideur physique et qu’Adrien hésite d’abord à fréquenter. Puis il découvre la chaleur humaine qui se dégage de cette vie dure et misérable. Il rencontre ensuite Kir Nicolas, de qui il apprendra le coeur de l’homme et le travail. Istrati évoque douloureusement la xénophobie. Indifférent à la fortune, Adrien, 17 ans, cherche à affirmer sa personnalité. Pas d’ambition pécuniaire, mais l’amour de son prochain, fraternité et justice, recherche de l’amitié avec un grand A. Et nous apprendrons au cours de ce nouvel épisode qu’il ne faut pas se fier au apparences. Mikhaïl et Samoïla, très différents l’un de l’autre, deviendront ses amis. Avec ce nouvel opus, nous continuons à suivre la jeunesse d’Adrien, sa sortie de l’école et ses débuts de travailleur, puis sa chute vers la vie misérable de vagabond. Réflexions sur l’enfant, sa subordination à l’homme et son devenir parmi les hommes. Quatrième récit du cycle de la Jeunesse d’Adrien Zograffi, récit d’une jeunesse misérable et vagabonde, de la recherche de l’amitié et de la liberté, avec une avidité de connaître l’autre.

  • Vie d’Adrien Zograffi

    3

    Vie d’Adrien Zograffi
    Vie d’Adrien Zograffi

    La mère d’Adrien le fait embaucher chez les frères Max et Bernard Thüringer, grands exportateurs de céréales, à Braïla. Cet épisode de sa vie aborde l’« impitoyable système de travail » en vigueur, et la naissance de syndicats à Braïla. L’esprit de vagabondage d’Adrien reprend le dessus, il quitte à nouveau sa mère pour rejoindre son ami Mikhaïl, à Bucarest. Il se retrouve dans un bureau de placement, entouré de socialistes, et Istrati nous expose un débat autour de l’utopisme des partis, du machinisme et de ses conséquences. « Adrien Zograffi, âgé de vingt-deux ans, quitte son pays pour la première fois en décembre 1906. Il s’embarque à Constantza pour Alexandrie d’Égypte. C’est une date qui compte dans son existence. Jusqu’à la veille de la Grande Guerre, notre jeune idéaliste sera l’amant de la Méditerranée. La Roumanie, Braïla, où sa mère peine dans l’angoisse, ne le reverront plus que le temps nécessaire aux hirondelles pour élever leurs petits. Dans les pages qui suivent, Adrien raconte lui-même les scènes capitales de sa féerie méditerranéenne. » « Adrien Zograffi, âgé de vingt-deux ans, quitte son pays pour la première fois en décembre 1906. Il s’embarque à Constantza pour Alexandrie d’Égypte. C’est une date qui compte dans son existence. Jusqu’à la veille de la Grande Guerre, notre jeune idéaliste sera l’amant de la Méditerranée. La Roumanie, Braïla, où sa mère peine dans l’angoisse, ne le reverront plus que le temps nécessaire aux hirondelles pour élever leurs petits. Dans les pages qui suivent, Adrien raconte lui-même les scènes capitales de sa féerie méditerranéenne. »

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