Il ne m’a jamais frappée : comment j’ai été détruite par un manipulateur
Par Catherine G
()
À propos de ce livre électronique
Elle pensait vivre une histoire d'amour.
Elle vivait une emprise.
Il ne l'a jamais frappée.
Il ne criait pas.
Il ne menaçait pas.
Et pourtant, jour après jour, elle a commencé à douter d'elle-même, à se taire, à s'effacer.
Dans ce témoignage bouleversant et réaliste, l'autrice raconte comment elle a vécu avec un manipulateur, comment l'emprise s'est installée sans violence visible, et comment elle a fini par comprendre qu'on peut être détruite sans qu'une seule main ne se lève.
À travers un récit intime, sobre et sincère, ce livre met des mots sur une réalité encore trop souvent minimisée : la violence psychologique.
Un témoignage pour celles et ceux qui doutent, qui se sentent perdus, ou qui cherchent à comprendre ce qu'ils vivent — ou ont vécu.
Lié à Il ne m’a jamais frappée
Mémoires personnels pour vous
Possédé par un djinn: Une victime raconte son enfer Évaluation : 5 sur 5 étoiles5/5Cosa Nostra: L'entretien historique Évaluation : 5 sur 5 étoiles5/5Stick Action Spéciale: Un opérateur du 1er RPIMa raconte Évaluation : 5 sur 5 étoiles5/5Les Mémoires de Casanova Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationGIGN : confessions d'un OPS: En tête d’une colonne d’assaut Évaluation : 5 sur 5 étoiles5/5Victime d'un accro au sexe: Manipulée par amour Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationMémoires d'outre-tombe (L'édition intégrale - Tomes 1 à 5): Édition intégrale en 5 tomes: récit autobiographique, histoire familiale et naissance du romantisme Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationKabazal - Les Emmurés de Tazmamart: Les Témoignages de Salah et Aïda Hachad sur l'enfer carcéral au Maroc Évaluation : 4 sur 5 étoiles4/5S'aimer soi-même à l'image de Dieu: Un chemin de guérison Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationAventures et mésaventures d'une aide-soignante à domicile: Anecdotes de vie Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationC’est mon foie, ma bataille Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationMariée au KGB Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationL'opérateur: Autobiographie d'un Navy SEAL Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluation« Je veux divorcer » Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationLes péchés mignons de l'anorexie: Un témoignage décalé sur ce trouble alimentaire Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationHistoire secrète du PS liégeois: Cools, Mathot, Onkelinx, Daerden et les autres Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationProstituées alimentaires: Epouses, mères, étudiantes Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationGIGN, le temps d'un secret: Les coulisses du Groupe d'intervention de la Gendarmerie nationale Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationLa fille pas sympa: La vie chaotique et turbulente d'une jeune autiste Asperger Évaluation : 5 sur 5 étoiles5/5Les Mémoires de la marquise de la Rochejaquelein Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationLa terre n'est qu'un seul pays: 400 000 km autour du monde en stop Évaluation : 5 sur 5 étoiles5/5Résilience: Crise des Grands Lacs : témoignages d’une fratrie rwandaise après l’attentat du 6 avril 1994 Évaluation : 0 sur 5 étoiles0 évaluationLâcher prise, c'est vivre: Un témoignage bouleversant Évaluation : 4 sur 5 étoiles4/5
Avis sur Il ne m’a jamais frappée
0 notation0 avis
Aperçu du livre
Il ne m’a jamais frappée - Catherine G
✍️ CHAPITRE 1
Pourquoi j’écris aujourd’hui
Je n’ai jamais pensé écrire un livre un jour.
Encore moins sur ma vie.
Pendant longtemps, je me suis dit que ce que j’avais vécu n’était pas assez grave.
Après tout, il ne m’a jamais frappée.
Personne ne m’a jamais demandé de me cacher.
Je pouvais sortir, travailler, voir des gens.
Alors je me disais que je n’avais pas le droit de me plaindre.
Pourtant, quelque chose n’allait pas.
Je le sentais, sans pouvoir l’expliquer.
Une fatigue profonde.
Un malaise constant.
L’impression de devoir faire attention à tout.
Je pleurais souvent sans savoir pourquoi.
Je doutais de moi dans des situations où j’avais toujours été sûre auparavant.
Je m’excusais pour des choses insignifiantes.
Quand j’essayais d’en parler, je minimisais.
Je disais :
« Ce n’est pas si grave. »
« Je suis trop sensible. »
« C’est moi qui prends tout trop à cœur. »
C’est exactement comme ça que je suis restée.
Je n’écris pas pour accuser.
Je n’écris pas pour régler des comptes.
J’écris parce que j’ai compris trop tard
