Chère Ruth
Par Kim Fielding
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À propos de ce livre électronique
Je ne suis pas d’humeur à fêter Noël. Après une relation amoureuse partie en fumée, je suis retourné dans ma ville natale du Kansas rural. Puis ma mère est décédée. Je suis très occupé par mon travail de capitaine des pompiers, et maintenant par la chronique de conseils de ma mère, que j’ai reprise à contrecœur. Il y a un nouveau venu sexy dans la rue, un homme avec une petite fille et un malheureux mépris pour la sécurité incendie. Il semble vouloir nouer une amitié, mais cela crée des problèmes qui pourraient être trop brûlants pour moi. Je n’ai vraiment pas besoin de décorations inflammables et de trop de nourriture de Noël en ce moment.
Comment suis-je censé prodiguer de bons conseils aux autres alors que je n’arrive pas à mettre de l’ordre dans ma propre vie ?
– Rabat-joie, Bailey Springs
Kim Fielding
Kim Fielding is pleased every time someone calls her eclectic. Her books span a variety of genres, but all include authentic voices and unconventional heroes. She’s a Rainbow Award and SARA Emma Merritt winner, a LAMBDA finalist, and a two-time Foreword INDIE finalist. She has migrated back and forth across the western two-thirds of the United States and currently lives in California, where she long ago ran out of bookshelf space. A university professor who dreams of being able to travel and write full-time, she also dreams of having two daughters who occasionally get off their phones, a husband who isn’t obsessed with football, and a cat who doesn’t wake her up at 4:00 a.m. Some dreams are more easily obtained than others. Blogs: kfieldingwrites.com and www.goodreads.com/author/show/4105707.Kim_Fielding/blog Facebook: www.facebook.com/KFieldingWrites Email: kim@kfieldingwrites.com Twitter: @KFieldingWrites
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Avis sur Chère Ruth
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Aperçu du livre
Chère Ruth - Kim Fielding
Table des matières
Résumé
UN
DEUX
TROIS
QUATRE
CINQ
SIX
SEPT
HUIT
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Biographie
Par Kim Fielding
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Droits d'auteur
Chère Ruth
Par Kim Fielding.
Chère Ruth,
Je ne suis pas d’humeur à fêter Noël. Après une relation amoureuse partie en fumée, je suis retourné dans ma ville natale du Kansas rural. Puis ma mère est décédée. Je suis très occupé par mon travail de capitaine des pompiers, et maintenant par la chronique de conseils de ma mère, que j’ai reprise à contrecœur. Il y a un nouveau venu sexy dans la rue, un homme avec une petite fille et un malheureux mépris pour la sécurité incendie. Il semble vouloir nouer une amitié, mais cela crée des problèmes qui pourraient être trop brûlants pour moi. Je n’ai vraiment pas besoin de décorations inflammables et de trop de nourriture de Noël en ce moment.
Comment suis-je censé prodiguer de bons conseils aux autres alors que je n’arrive pas à mettre de l’ordre dans ma propre vie ?
– Rabat-joie, Bailey Springs
UN
CHERS LECTEURS,
C’est avec beaucoup de tristesse que je vous annonce le décès de mon amie proche, Becky Reynolds. La plupart d’entre vous connaissaient Becky et sont conscients des contributions exceptionnelles qu’elle a apportées à notre communauté. Elle a fait de Bailey Springs un meilleur endroit pour nous tous.
Mais ce que la plupart d’entre vous ne savaient pas, c’est que Becky était également une chroniqueuse très appréciée de ce journal. En tant que chroniqueuse de « Chère Ruth », elle a fourni de précieux conseils pendant plus de trente ans. J’ai le regret d’annoncer que Chère Ruth est désormais en pause pour une durée indéterminée.
Becky Reynolds laisse derrière elle son fils, Bryce Reynolds, capitaine des pompiers de Bailey Springs, ainsi qu’un grand nombre d’amis, d’étudiants et d’admirateurs. Elle nous a tous enrichis.
– Alma Bernard, éditrice et rédactrice en chef.
— COMMENT TIENS-TU le coup ?
Bryce ne répondit pas tout de suite. Il préféra raffermir sa mâchoire, regarder par la vitre du Louella’s Café et observer quelques piétons intrépides braver le trottoir glissant. Il avait fait des paris avec lui-même sur la probabilité qu’il se précipite dehors afin de dispenser les premiers soins, mais jusqu’à présent, il était resté à l’intérieur, supportant le regard acéré d’Alma Bernard. Comme cette dernière ne lui accorderait pas sa pitié, il soupira et se tourna vers elle.
— Je vais bien. J’ai trente-huit ans, ce qui est largement suffisant pour survivre sans ma maman.
— J’aurai soixante-cinq ans le mois prochain, et la mienne me manque encore tous les jours.
— Je suis désolé, assura Bryce en tapotant la main d’Alma. Je suis… je suis un idiot. Tu as connu maman plus longtemps que moi. Sa mort t’a aussi durement touchée.
— C’est vrai. Et les histoires que je pourrais te raconter sur notre adolescence !
Elle sourit en buvant son thé. Puis elle posa sa tasse sur la table et regarda Bryce à travers ses lunettes à monture violette.
— Je veux vraiment savoir comment tu vas, Bryce. Ta mère ne me pardonnerait jamais si je te laissais dépérir.
— Elle reviendrait probablement nous hanter tous les deux.
— Probablement.
Il frotta l’arrière de son crâne pendant qu’il réfléchissait. Son ex, Owen, avait pour habitude de le taquiner pour ce geste, lui demandant s’il essayait d’activer les circuits plus vite.
— Je vais bien, dit-il finalement. Un peu… perdu, peut-être. Tu vois ? Je m’attends toujours à ce qu’elle m’appelle ou m’envoie un message.
— Moi aussi, admit-elle lentement. Tu sais qu’elle avait l’habitude de se réveiller dans la nuit et d’envoyer des liens vers des nouvelles qu’elle trouvait intéressantes ? Je cherche encore ces messages quand je me réveille.
— Oui.
Il avait sauvegardé un tas de ces vieux textos et les faisait parfois défiler. Mais comme c’était morbide et pathétique, il ne le dit pas à Alma.
Dehors, un homme vêtu d’une parka marine, d’une écharpe à carreaux et d’un bonnet gris glissa sur un mètre cinquante et faillit tomber sur la glace, mais il réussit à se rattraper à temps. Une bonne idée, vu qu’il portait deux sacs volumineux de Toys and Joys. Un peu d’achats de Noël en avance, sans doute. Bryce ne pouvait pas en être sûr à cause de toute la panoplie hivernale, mais il pensait que c’était peut-être son beau nouveau voisin. Il espérait que l’homme rentrerait bien chez lui.
Il reporta son attention sur le café et regarda les arbres de Noël. Il trouvait que trois c’était excessif, mais au moins, après quelques réprimandes de sa part, les propriétaires avaient remplacé les guirlandes de Noël vintage. Bien sûr, les lumières étaient jolies, mais elles étaient aussi une grande attraction pour les petits. Si l’une des ampoules se brisait, un enfant pourrait se couper avec le verre ou se brûler avec le liquide bouillant.
— Puis-je te demander quels sont tes projets ?
Le ton d’Alma était inhabituellement hésitant. C’était la femme qui avait fait éclater le scandale des détournements de fonds du maire en 1993, ce qui avait conduit aux aveux déchirants de l’escroc et à son séjour à la prison d’El Dorado. Elle était d’habitude plus brusque que douce. Mais elle pensait, apparemment, qu’il devait être manipulé avec soin.
— Mes projets ? demanda-t-il.
— Vas-tu continuer à vivre ici, à Bailey Springs ? Ou faire tes valises et retourner chez les pompiers de Wichita ?
— Rester ici, je