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nna, 45 ans, appréhende le moment où il faudra fermer les volets de la maison normande pour la dernière fois. Achetée il y a trente ans par ses grands-parents, la demeure va être mise en vente suite au décès de son grand-père. Elle sait que, dans les mois qui viennent, il va falloir dire adieu à la grande allée de hêtres, à la grange de briques rouges et à la mare où elle a fait les 400 coups avec sa ribambelle de cousins. Et elle est étonnée de la tristesse qui l’envahit. Pourtant, au moment de la quitter, Anna ne peut s’empêcher d’être nostalgique : La réaction d’Anna est finalement assez emblématique des sentiments ambivalents que nous pouvons nourrir à l’égard de bâtisses qui sont dans nos familles depuis plusieurs générations. D’un côté, elles nous rappellent des souvenirsJamais plus en famille”