Toxiques
Suzanne Privat, Les Avrils, 208 p.
fouille, avec une grande sensibilité de cœur et une parfaite technique littéraire, dans la cuve des polluants éternels, et en extirpe un squelette de faits divers (une lycéenne victime de cyber-harcèlement après un freestyle maladroit) que le livre va s’acharner à faire revivre, dans un grand geste embrassé d’amour et de deuil: parler, parler plus fort, pour garantir le silence éternel