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EN MATIÈRE DE STYLE, rien n’est gravé dans le marbre, surtout pour les garçons en 2024. Et des parquets de la NBA au gymnase Philippe-Auguste du XIe arrondissement, il n’y a qu’un pas. Tout a commencé en septembre dernier, dans mon club de basket adoré du CBP 11. On a recruté un nouveau joueur, un meneur, fort, qui annonce tout de suite la couleur: il porte du vernis à ongles noir, sur ses dix doigts. Parfois ils sont bleus, verts.
Quelques semaines plus tard, d’autres joueurs s’y mettent, et dans les vestiaires, ça commence à parler “”, “” et autres teintes de vernis. Après quelques recherches, je me rends compte qu’il faut s’y faire: le est là, et pour de bon. Si des précurseurs comme Marc Jacobs ou ASAP Rocky ont lancé la tendance il y a quelques années, le vernis pour homme a débarqué récemment dans notre espace médiatique, amical et professionnel.