LES POINTS CLÉS
● Capteur CMOS BSI stacked
● Filtre GND
● Protection IP53
2 400 € Prix indicatif (boîtier nu)
Généreuse quant au poids maximal de 15 kg autorisé pour notre bagage cabine, la compagnie aérienne avec laquelle nous avons embarqué l’était moins sur son volume : 45 × 36 × 20 cm, pas plus, sachant que notre programme incluant des marches plus ou moins longues nous imposait de toute façon une certaine prudence. Ces arguments nous ont rapidement fait envisager l’association de notre voyage au test de l’OM-1 Mark II annoncé en début d’année. Car outre des boîtiers un brin plus compacts et légers qu’en plus grand format, le système micro 4/3 présente l’avantage d’objectifs au champ de couverture limité, permettant d’en réduire également l’encombrement et le poids. Dans notre sac à dos, peu ou prou aux dimensions maximales autorisées par la compagnie, nous avons ainsi pu loger l’OM-1 Mark II, le 8-25 mm f/4 Pro au champ équivalent à celui d’un 16-50 mm en 24×36, le 20 mm f/1,4 Pro équivalent à un 40 mm, le 12-40 mm f/2,8 Pro II (éq. 24-80 mm), le 40-150 mm f/4 Pro (éq. 80-300 mm) et même le tout récent 150-600 mm f/5-6,3 IS, dont le champ équivaut à celui d’un 300-1 200 mm en 24×36 ! Nous y avons ajouté quelques cartes mémoires – toutes au format SD, l’OM-1 Mark II ayant le bon goût de proposer un double logement dont chaque emplacement est compatible avec la norme UHS-II –, un adaptateur secteur pour la Grande-Bretagne, un chargeur USB – la batterie se recharge directement en USB-C avec un système standard – et un chiffon pour nettoyer notre matériel, le tout pour un poids raisonnable d’un peu plus de 4 kg. Nous avons volontairement fait le
