elon certaines indiscrétions, le recrutement de Fernando Alonso, dont on connaît le caractère éruptif, n’a jamais été envisagé du côté de Mercedes. Et seule la certitude de perdre Max Verstappen aurait encouragé les responsables de l’équipe Red Bull a étudier l’arrivée du double champion du monde à Milton Keynes. L’Espagnol qui n’aime rien tant que d’être désiré n’avait pas d’autre choix que de poursuivre et sans doute achever sa carrière chez Aston Martin où il est cajolé et respecté. Et très bien payé, ce qui ne gâte rien. Flavio Briatore, son manager de toujours, continue d’ailleurs à prélever sa dîme. Il faut rappeler que c’est l’Italien qui, fin 2000, a eu le réflexe de se précipiter au pied du podium de Spa-Francorchamps après une course de F3000 pour faire signer à Alonso un de ses fameux contrats de longue durée. Le jeune Espagnol, alors débutant dans la catégorie, venait de faire une démonstration pour s’imposer dans des conditions difficiles, typiques sur le circuit belge. Adrián Campos, le premier manager de l’Asturien, fut écarté mais la carrière d’Alonso lancée. Et l’association Alonso-Briatore gravée dans le marbre. On verra que
LES 7 VIES DEFERNANDO ALONSO
May 31, 2024
6 minutes
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