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ES SWIFTIES ONT DÉBARQUÉ en masse à Paris pour les quatre premières du Eras Tour de Taylor Swift. Quatre fois 45 000 personnes, dont un bon quart d’Américains, enfin d’Américaines majoritairement, pour une simple raison… économique ! Il revenait en effet moins cher à un États-Unien de prendre l’avion, d’être hébergé dans un hôtel, d’acheter un billet pour La – en merchandising – del’argent sur place que d’aller voir leur star préférée en bas de chez eux, du fait du , ce système calqué sur celui de réservation des avions, hôtels ou locations de voiture, etc., où l’offre s’adapte à la demande – plus la demande est grande, plus le prix est élevé. Ainsi, les polémiques outre-Atlantique autour de cette méthode – dont Springsteen avait fait… les frais l’an dernier –, sont très loin de s’éteindre. Sauf que la demande pour la chanteuse a dépassé tous les plafonds possibles, rappelant ce fameux concert unique de retrouvailles de Led Zeppelin, en 2007, où plus de 18 millions de demandes ont été formulées pour moins de 20000 places disponibles. Mais les Anglais avaient maintenu un tarif raisonnable.