![f028-01.jpg](https://article-imgs.scribdassets.com/2q3otaaerkcf8qk0/images/fileCFJFBOYJ.jpg)
![f028-02.jpg](https://article-imgs.scribdassets.com/2q3otaaerkcf8qk0/images/file8S94F4H3.jpg)
![f028-03.jpg](https://article-imgs.scribdassets.com/2q3otaaerkcf8qk0/images/fileLBTT6IOL.jpg)
![f028-04.jpg](https://article-imgs.scribdassets.com/2q3otaaerkcf8qk0/images/fileOFVG7M3B.jpg)
![f028-05.jpg](https://article-imgs.scribdassets.com/2q3otaaerkcf8qk0/images/file0NDO2WQZ.jpg)
Formée à la peinture, Letizia Le Fur bifurque vers la photographie sur les conseils de l’artiste Valérie Belin. Son œuvre se situe à la croisée des disciplines : si ce sont, 2022). Son style affirmé lui vaut de recevoir de nombreuses commandes de grandes marques ou de la presse, mais c’est dans ses travaux personnels qu’elle s’exprime le mieux. Les images ci-dessus sont extraites de la série , elle-même le premier volet d’un triptyque intitulé . Inspiré par les grands mythes sur la création du monde, ce travail est une succession de paysages à l’aspect primitif où l’on distingue parfois une silhouette d’homme, nu et errant dans l’immensité vierge. Cette série de tableaux photographiques en forme de conte initiatique interroge de façon poétique notre place dans l’environnement, à l’heure où il devient de plus en plus difficile de trouver un espace non “humanisé” sur la planète.