e satellite de Saturne était pourtant le candidat le plus sérieux du Système solaire : outre, rappelle Catherine Neish, chercheuse à l’université Western, au Canada. Encore faut-il que les deux entrent en contact… La planétologue a donc quantifié la possible infiltration des molécules sous la surface, à travers les cratères d’impacts météoritiques. Las ! Selon ses calculs, pas plus de 7 500 kg de glycine, un acide aminé constitutif des protéines, s’écouleraient chaque année jusqu’à l’océan. , tranche la chercheuse. Un espoir subsiste toutefois : que le cœur de Titan soit en mesure de fournir les éléments organiques nécessaires.
TITAN NE SERAIT PAS PROPICE À LA VIE
Apr 19, 2024
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