L.C. Quel regard portez-vous sur l’évolution de Nanimarquina depuis sa création?
Quand j’ai débuté dans les années 1980, le pays était refermé sur lui-même, le design de produit peu valorisé et les éditions de tapis inexistantes. J’ai toujours pensé que les choses arrivent par hasard et, lorsqu’une opportunité se présente, il faut sauter le pas. Pour moi, c’était le moment de se risquer. Nous