1 Les mâles sacrifient leur sommeil pour se reproduire…
À l’aide d’analyses électro-physiologiques et métaboliques, des chercheurs de l’université australienne La Trobe ont pu évaluer le temps de sommeil du dorment trois heures de moins par nuit, deux fois moins qu’en temps normal. Une façon de rester sur le qui-vive afin de ne pas rater la moindre opportunité dans leur compétition pour l’accès aux femelles, et maximiser ainsi leurs chances de paternité.