Personne n’est naturel avec lui. Anne-Marie Sardou veille sur son grand homme quelques heures avant qu’une dernière fois il monte sur scène. Il est 20 heures 15, samedi 16 mars dans le quartier de la Défense. Anne-Marie est habillée de rouge ; Michel paraîtra en noir. Elle sera la spectatrice du dernier jour comme Fernand dans son fauteuil fut le spectateur du premier soir. Fernand, le père illustre à qui Michel rend hommage quand il chante encore et toujours Aujourd’hui peut-être. À ceux qui cherchent à percer ce coffre-fort fermé à triple tour, qu’ils sachent qu’il n’existe pas de Petit Sardou illustré. Qu’ils écoutent son tour de chant à l’Arena. Ils trouveront des indices.
, affirme-t-il dans (1997). Ce n’est pas un aveu. C’est Personne, mieux que Victor Hugo, n’a résumé l’homme qui prend la plume :