Vladimir Poutine n’y a pas cru. Alors que, dès le 7 mars, l’ambassade américaine publie à destination de ses ressortissants une alerte de sécurité pour les enjoindre à éviter les grands rassemblements à Moscou. Le président russe balaie cet avertissement. Il veut y voir un , une tentative de déstabilisation, un élément de propagande. C’est ce qu’il soutient devant le bureau du FSB, le service de renseignement intérieur russe pas plus tard que mardi dernier.
Attentat de Moscou L’autre guerre (mondiale)
Mar 24, 2024
3 minutes
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