Teddy Riner ? Non. Kylian Mbappé ? Non plus. Nikola Karabatic ? Pas sûr. En dévoilant cette semaine le mode de désignation des porte-étendards pour Paris 2024, le Comité national olympique et sportif français (CNOSF) et son alter ego paralympique (CPSF) savaient qu’ils s’exposaient à des critiques. Car les critères de sélection écartent de facto de nombreuses têtes d’affiche.
D’abord, pour être candidat, un athlète doit justifier d’une expérience « olympienne