a mode est à la souveraineté. On n’arrête plus de vouloir la « retrouver », d’en annoncer le retour, d’en espérer les merveilles. Selon toute évidence, nous avons envie de croire en la magie du pouvoir, en la puissance du « politique ». Nous nous rêvons libérés des entraves, maîtres de notre destin. Les sirènes de la radicalité chantent à nos oreilles la fin des aliénations, le triomphe du bon sens. Des boucs
Souveraineté: l’empire funeste du simple et du tranchant
Mar 06, 2024
2 minutes
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