Sarrebourg (Moselle), le 2 février
Responsable boulangerie dans une supérette pendant une grande partie de sa carrière, cette sexagénaire dynamique a arrêté de travailler à 58 ans, mais a rapidement constaté que la retraite n’était pas faite pour elle. Veuve depuis quatre ans, elle a repris le travail chez un boucher, toutefois le métier ne la passionnait pas. C’est sa fille qui lui a donné le coup de pouce nécessaire. “Un jour elle m’a dit : « Pourquoi tu ne te lances pas en tant que coiffeuse ? »” Christiane a, en effet, toujours rêvé de faire ce métier, mais s’est heurtée à de nombreux obstacles quand elle était jeune. “Avec mon père, nous nous étions rendus dans des salons de