Pourquoi j’ai craqué
Mon père était ingénieur dans la construction des autoroutes et il possédait à l’époque une Opel Commodore GS/E de 160 ch. J’ai des souvenirs sur la banquette arrière, il roulait à des vitesses inavouables sur des tronçons neufs encore fermés à la circulation. Le vice de la vitesse et des belles mécaniques est sûrement arrivé à ce moment‑là. Quand j’ai passé le permis, je me suis rapidement tourné vers les voitures « énervées » du moment.