elon les découvertes effectuées en 2017 par des géologues de l’université du Texas, il s’en est fallu de peu ! Il aurait suffi que l’astéroïde surgisse quelques secondes plus tôt ou plus tard dans l’atmosphère terrestre, voici 66 millions d’années (Ma), pour qu’il finisse sa course dans les eaux profondes du Pacifique ou de l’Atlantique, et non au Yucatán. Les conséquences de la catastrophe auraient alors été moins désastreuses, puisque la force de la collision aurait été en partie amortie par l’océan. Moins de roche aurait été vaporisée, pointe Nicholas Longrich, paléontologue à l’université de Bath (Royaume-Uni).
