ndré Markowicz le dit lui-même : « Quand on lit une traduction, on ne lit pas l’auteur étranger, on lit l’auteur étranger vu par le traducteur. Il faut être conscient qu’une traduction est relative, parce que c’est juste de Dostoïevski. C’est Emma Lavigne qui s’y est attelée, après la traduction de Mongault, en 1923, accusée de donner une version française « lisse et académique », et amputée de près de 15 % (soit de 200 pages) du chef-d’œuvre russe, puis celle de Markowicz, en 2002, jugée « très personnelle ».
Traduire, et retraduire
Dec 14, 2023
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