Cette nouvelle boutique ouvre vingt ans après celle du Palais-Royal. Que dit-elle de Pierre Hardy aujourd’hui ?
Il y a vingt ans, être discret, hors des sentiers battus, voire même caché signait une sorte de sophistication. Mais aujourd’hui les gens ont envie d’accéder aux choses simplement, et la rue Saint-Honoré incarne cette évidence. Dans ce contexte donc, j’ai essayé de créer un lieu qui me ressemble…
Comment l’avez-vous conçu ?
J’ai conservé mon esthétique un peu radicale avec des matériaux bruts mais traités avec délicatesse. L’espace figure une sorte de plateau de cinéma