: ceux qui ont choisi ce titre pour le recueil des correspondances d’Italo Calvino ont probablement voulu intriguer. Déjà, à le lire, on n’est pas certain que ce romancier italien, parmi les plus renommés de la seconde moitié du XXesiècle, ait considéré comme un métier ce qui lui est apparu très jeune comme une vocation. En s’interrogeant déjà sur son périmètre de prédilection. Ce métier d’écrire, il l’a exercé comme éditeur, chroniqueur et conférencier, nouant de fortes amitiés avec quelques autres figures intellectuelles italiennes (Pasolini, Eco, Primo Levi, Elsa Morante, Moravia, Sciascia,
