Quand on se pince le front, normalement, la peau doit revenir à sa position habituelle en moins d’une seconde, sinon c’est signe qu’elle est asséchée. À la saison froide, les facteurs de déshydratation se multiplient. La chute des températures freine la circulation sanguine et la production de sébum – moins liquide, il peine à remonter à la surface et à s’étaler sur la peau. De plus le climat est trois fois plus sec qu’en été et les chocs thermiques entre extérieur et intérieur aggravent au passage couperose et rosacée. Et si l’inconfort s’installe, c'est que la quantité de lipides dans la peau chute drastiquement par rapport aux beaux jours : -60 % de céramides, -15 % d’acides gras, -19 % d’oméga 6 et - 35 % d’oméga 3*. En plus de cette météo irritante, le métabolisme au ralenti peine à évacuer les
Ces soins qui réconcilient avec l’hiver
Nov 08, 2023
5 minutes
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