« Cela doit être la dernière guerre à Gaza. Pour la simple raison qu’il n’y aura plus de Hamas », a martelé le ministre israélien de la Défense, Yoav Gallant, le 22 octobre, devant ses troupes, lors d’une visite à la base de l’armée de l’air de Tel- Aviv. Après avoir intensifié ses bombardements sur Gaza, l’Etat hébreu a démarré moins d’une semaine plus tard son offensive terrestre, préparée en urgence pour « anéantir » le groupe terroriste responsable de la sanglante attaque du 7 octobre.
Investir l’enclave palestinienne, où vivent 2,3 millions d’habitants sur une bande de terre