’allure androgyne et volontairement ambiguë de Charlotte Rampling dans (1974). Celle, désinhibée, de Florinda Bolkan dans (1976). L’élégance bourgeoise de la tourmentée Monica Vitti dans (1964). Des atmosphères multiples revendiquant une approche non linéaire et une chronologie bouleversée, éminemment suggestive, qui dépasse les genres et les catégorisations binaires. Telle est l’impression qui se dégage, au premier coup d’œil, des looks de la collection capsule conçue par Stefano Pilati pour Fendi. Le styliste milanais – qui est depuis plus de 30 ans dans la mode : Armani, Yves Saint Laurent, Prada, Zegna –, fondateur en 2017 du label Random Identities, est
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Oct 31, 2023
4 minutes
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