C’était écrit, ou plutôt chanté. Par Guy Béart. Dans son titre « La vie conjugale »: Mais aussi dans la face B de ce 45 tours: On tient là – à savoir histoire sage, Au début des années 1950, celle qui ressemble alors à Michèle Morgan épouse, bon gré mal gré, un certain Guy – oui, comme Béart. Ils auraient pu rester dans la région nantaise, mais Guy travaille à la Société des Bois du Cameroun. Madeleine embarque alors pour Douala, pour une nouvelle vie. Mais, en 1958, lors d’un bal à la Délégation à Yaoundé, elle rencontre celui qui, secrètement, bouleversera son existence, en l’invitant à danser. […] Des années plus tard, c’est la nièce de Madeleine qui tentera de reconstituer cette à partir de photos et autres documents retrouvés. Le point de départ n’est certes pas d’une immense originalité. Mais tout l’intérêt d’ réside dans le traitement, tout en finesse, de Dominique Barbéris (dont on avait pu apprécier, entre autres, ). Le récit tient en effet à la sensibilité des mots de la romancière, sa délicatesse, à l’image de sa manière d’intégrer naturellement au cœur du texte des paroles de chansons de Dalida, de Mouloudji ou d’André Claveau. Et de Guy Béart, bien sûr…
MARQUE-PAGE par Baptiste Liger
Sep 28, 2023
1 minute
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