Avec Dogman, Luc Besson revisite le cinéma de ses débuts, mi-thriller, misentimental… Est-ce ce qui vous a convaincu d’accepter le rôle?
Oui, d’autant que ce sont ses premiers films que je préfère. Il s’y trouve toujours un personnage auquel on peut s’identifier. L’imagination est convoquée là où on peut la toucher, la sentir… Je n’avais jamais travaillé avec quelqu’un qui connaît la caméra autant que Luc Besson. Il me fait penser à un champion de Formule 1 dont on découvre à la fin de la course qu’il avait les yeux bandés!
Et le rôle de Douglas, alias “Dogman”, ne fait pas partie de ceux dont