es jours-là, on pense toujours aux SMS, aux appels, aux invitations qui, les derniers mois, sont restés au stade de velléités. « Il faut que j’appelle Jacques Julliard. » Pour lui dire combien cette phrase dans son édito m’a éblouie. Pour lui demander son avis sur telle ou telle catastrophe de l’actualité. Pour lui proposer de déjeuner, ou de prendre le thé – à la fin, il fallait privilégier les endroits calmes. Las ! Le temps, le tourbillon,
« Il faut que j’appelle Jacques Julliard »
Sep 14, 2023
3 minutes
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