près le boycott, le « bidule ». En juin, les trois principales associations d’élus locaux – celle des maires, des départements et des régions – le successeur de Gabriel Attal. Les intéressés ont dû être heureux d’apprendre qu’ils pouvaient avoir des « idées » utiles. Lesquelles viseraient, en sus, à corriger l’inflation législative et réglementaire… dont le gouvernement les accable souvent. Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Depuis 1979, le Comité des finances locales est censé lui aussi représenter les collectivités auprès de l’Etat pour tout sujet d’ordre budgétaire. Composé de 32 élus, de 11 hauts fonctionnaires, et d’autant de suppléants de part et d’autre, il se réunit en moyenne quatre à sept fois par an. L’urgence à le flanquer d’un clone ne saute pas aux yeux.
Finances publiques : la guerre des clones
Sep 07, 2023
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