lle incarne la liberté sexuelle, la liberté de pensée, la liberté artistique… Tout son parcours en témoigne”, nous disait d’elle, il y a quelques années, Étienne Daho. C’est vrai, Jane Birkin a vite décidé d’être une affranchie, malgré un coeur tendre prompt à la dépendance affective. “Je ne suis pas formidable avec la solitude”, résumait-elle joliment. Mais elle n’en fit qu’à sa tête : “C’est bien, parfois, d’être gonflée ! J’ai toujours été très libre”, nous affirmait Jane en 2019. Elle aimait les embruns du Finistère, la bruine du Pays de Galles, où. Et c’est cette profondeur, cet attachement aux souvenirs, évident dans ses journaux intimes – et , qui nous faisait tant aimer Jane, qui se qualifiait elle-même de “grande regretteuse”. “Ma mère n’est pas mélancolique, elle est nostalgique, c’est très différent”, comme nous l’a un jour résumé Charlotte Gainsbourg.
Jane ET NOUS
Aug 30, 2023
3 minutes
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