ls sont venus, ils sont tous là ou presque : Claire Gibault (Paris Mozart Orchestra), Emmanuelle Haïm (Le Concert d’Astrée), Raphaël Pichon ( ▼), François-Xavier Roth (Les Siècles), Christophe Rousset (Les Talens lyriques)… Mi-juin, parmi une centaine de, la ministre de la Culture, Rima Abdul Malak, l’alertant d’« un risque de disparition qui guette, à très court terme ». « Malgré leurs réussites éclatantes, les ensembles indépendants doivent se contenter auprès des pouvoirs publics d’une position marginale qui ne correspond en rien à la réalité et à la qualité de leur action sur le terrain », estiment-ils. « L’indépendance apparaît clairement aujourd’hui comme la variable d’ajustement de la politique culturelle de l’Etat mais aussi des collectivités territoriales, qui se replient sur leurs institutions labellisées et permanentes. » Quant aux « divers organismes de financement, notamment le Centre national de la musique », ils « définissent des critères d’aide de plus en plus inadaptés à nos spécificités et qui, , nous excluent progressivement des dispositifs de soutien au profit du secteur marchand ».
Des lettres et une mission
Aug 24, 2023
1 minute
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