Talence, le 1er août
“Cela fait neuf ans que je souffre d’une forme d’épilepsie qui est difficile à stabiliser avec les traitements. Avant d’accueillir Oggy, les crises survenaient sans prévenir, et provoquaient des chutes et des blessures. J’avais peur que cela n’arrive dans la rue et je n’osais plus sortir”, explique la jeune femme de 30 ans. C’est la lecture d’un article sur les chiens détecteurs d’épilepsie proposés par l’association Handi’Chiens qui a fait office de déclic. “J’ai déposé un dossier auprès d’eux, puis une éducatrice est venue chez moi. Elle m’a posé des questions sur ce que j’attendais du chien, et m’a informée de ce qu’il pouvait m’apporter. Elle a aussi étudié mon mode de vie, ma